Johnathan Kell
Photographe
Je suis Johnathan Kell, ce n’est pas mon vrai nom évidemment, ce n’est pas un pseudo, c’est un ajar.
Un jeu de mot pioché dans une chanson de Taxi Girl ... au hasard...
Né à Paris entre la chute de Saïgon et Barbès. Je passe mon enfance entre Jamés, petite ville du centre
de la France et Paris.
Issus de parents seventiesement séparés, styliste pour l’un, brokanteur pour l’autre. Mon Bak me sert de
passeport pour un voyage de six ans dans des études D’Histoire de l’art, histoire de voir.
Je konsakre quatre de ces années au Futurisme italien et à ses bruits.
Je m’installe à Lyon, travaille dans différents musées pas enkore brulés.
Renkontre New-York, un soir sur les quais.
Kommence des allers-retours entre les USA et la France et dans ma future femme.
En 2010, je me marie sur les toits de Brooklyn, puis je rentre en France en retrouver une autre que
j’avais lachement laissé tomber.
Je tombe à mon tour, je meurs, je reviens, je perds la mémoire, Zang Tumb Tumb !!!!
Je mets longtemps à retrouver le désékilibre et puis voilà je suis là ... Mais ce n’est plus moi...
C’est Johnathan Kell, l’artiste, il vit à Lyon désormais.
Il cherche un vekteur de kréation, un truk où il pourrait ékrire, faire de la musik, du graphisme et pourquoi
pas un film...
Un truk marrant... la sience fiktion est déjà prise par Philip K. Dick... Dick... Dick...
Du kul, du porno, voilà cest parti !
Johnathan créera avek sa Bite... Bite... Bite...
Il fait un site Internet pour tout mettre et la mettre
Les liens sont établis. ça part dans tous les sens, l’ékriture, le graphisme et la vidéo,
il délègue la musique à R. Laroche, un autre katkheur lyonnais.
Travaillant exklusivement dans le domaine digital, il utilise tous les outils numériks, souvent à kontre
emploi pour élaborer des images krues et kolorées, se koncentre sur les formes et les lignes sans jamais
se soucier du message... Kell message ?
La série présentée à la galerie Atmosphère est issue d’un travail en deux temps, d’abord la kollekte d’images
à forts potentiels et ensuite élaborer un skript digital pour les mettre en toile.
Des kristaux liquides à sa transposition organique.
Kouleurs orgasmiques. Le jet hors-kadre.
Fellations peintes et kriardes, éjakulations kolorées.
Des images synthwave, un hommage aux années 80 et 90, j’imagine le porno du Los Angeles 2019 de Dick,
cest fluo, c’est punk et c’est artificiel.
Un kul d’artifices.
Travail de longs éparpillements mais qui fini par aboutir après de nombreux rebondissements.
J’aime la kouleur, le rire et le kul. Je vis après chaque petites morts... Enkore...
Oeuvres en situation