Veroski
Dessinatrice
Veroski montre très tôt une fascination pour tout ce qui se trace, se colorie et s’imprime, tout en étudiant, seule et malgré son jeune âge, la façon dont les oeuvres artistiques sont techniquement et graphiquement réalisées.
A l’âge adulte, elle s’oriente vers le métier de costumière et les plateaux de cinéma.
Après cette période audiovisuelle de cinq années et malgré son habileté et la qualité de ses réalisations, elle choisit finalement de se consacrer à l’éducation de sa fille, et se tourne définitivement vers la pratique autodidacte du dessin et de la peinture.
Elle trace au moyen d’un Kalamos (bambou) et de l’encre de Chine, avec cette dynamique inimitable qui lui permet de « jeter » sur le papier la vision intime de son travail.
Puis, suivant les circonstances et les supports, Veroski y associe de l’ECOLINE et/ou de la peinture (huile et acrylique) et utilise pour ce faire, outre la toile et le papier à dessin classique, les matériaux les plus divers comme le bois, le carton ou les tissus.
Commençant à exposer ses œuvres et vivant très occasionnellement de son trait, des marchands d’art mal intentionnés lui détournent ses créations et disparaissent avec elles.
Très remontée contre ce mercantilisme sans vergogne et peu scrupuleux, elle préfère se priver de cette visibilité et continue à créer dans l’anonymat et l’intimisme le plus protecteur.
Depuis la création d’internet, ses œuvres sont reproduites, et diffusées, mais aussi exposées et utilisées pour le décorum éphémère de soirées privées ou de lieux publics dédiés.
En 2016, un site de rencontre, lui propose d’animer une Galerie d’Art érotique, ce afin de pouvoir y exposer son travail, mais aussi pour y ouvrir une fenêtre interactive de « LIVE PAINTING » mise à la disposition des internautes contemplatifs.
On pourra bientôt apprécier son travail par ce réseau social.
Oeuvres en situation